page 4-courant électrique

Publié le par same.666

Page 4- courant électrique
 
L est tout seul chez lui :
L : (à part) à partir de l’indice de l’heure de la mort des victimes j’ai annoncé au quartier général que kira était sûrement un écolier. Là, comme s’il s’était moqué de moi, le jour suivant, kira a tué dans les prisons un criminels toutes les heures, très précisément…il m’a prouvé qu’il popuvait choisir l’heure de la mort.
Jusque-là, il avait fait exprès de tuer à certaines heures pour qu’on pense à l’acte d’un écolier…
Et moi, je serais tombé dans le panneau ?
( à voix haute) mais il y a plus important…kira a accès aux informations du quartier général…le vrai problème est là. Que cherche- t-il à faire en mz donnant des in dices ? que veux-tu kira… ?
(à part) mais …il  y a des fuites dans la police…c’est une évidence que l’on ne peut nier…
(voix haute) watari, c’est moi. Sors un instant de la pièce du quartier générale.
(watari sors)
watari : je t’écoute, L
L :va dans un endroit où la police ne peut te voir et passe- moi le chef du fbi.
 
Light se promenant avec ryuk après les cours :
Ryuk :Et maintenant, on va faire des courses là ?
Light : j’ai besoin de quelque chose pour cacher le death note. Il restera cacher chez moi, dans ma chambre, dans un endroit facile d’accès…
Mais dans un endroit que personne de ma famille ne pourra touche…par ailleurs…L a dû commencer à porter ses soupçons sur les personnes en rapport avec la police…
Le jour où kira sera attrapé sera forcément celui où je me rendrai ou bien celui où le death note sera découvert. Mais si je dois le cacher, autant le faire dans un endroit où on ne le trouvera pas même en cas de perquisition dans la maison.
Ryuk : light, je peux te poser une question ?
Light : oui.
Ryuk : grâce à ton père qui travaille dans la police tu obtiens des informations précieuses. Je comprends que cela te donne confiance en toi pour continuer même si la police s’en mêle.
Light : oui...tu sais, je peux m’infiltrer dans l’ordinateur de mon père à partir du mien, sans laisser la moindre trace de mon passage. Je sais exactement comment se déroule l’enquête.
Ryuk : mais pourquoi as-tu sciemment amener L à porter des soupçons sur la police ?tu es qu’en même plus à ton avantage en le laissant avancer sur la piste d’un lycéen, non ?
Light :bravo,ryuk, tu as noté que c’était un point particulier ?
Ryuk :…
Light : néanmoins cela montre que tu connais encore mal les êtres humains. Je te l’ai déjà dit : ce sont des être stupides qui ont un endroit et un envers…pour répondre à ta question…j’ai fait ça pour dénicher L et l’éliminer. Et ce n’est pas en me contentant de cacher le death note que j’y arriverais. Dans notre société, les hommes qui vivent en se faisant confiance les uns aux autres ne sont que très peu nombreux.et, ce même dans la police…alors, entre L et la police…depuis le début, le rapport de confiance est proche de zéro. Comment en serait-il avec quelqu’un dont on ne connaît ni le nom, ni le visage ? L a compris que j’avais eu accès à des information secrètes …Il est donc évident qu’il va essayer de trouver dans la police une piste menant à moi…et s’il fait ça, la police ne va certainement pas rester de marbre vis-à-vis de lui. En apparence, la police et L montrent une collaboration sans limites…d’ailleurs, ils collaborent vraiment. Mais par-derrière, L va enquêter sur la police…et la police va enquêter sur L !!
Ryuk :…
Light : ce n’est pas moi… qui vais trouver L…la police va le localiser. Et moi, je l’éliminerais…je suis certain que L sera plus vite coincé par la police que kira.(rentrant chez lui)
 
Quartier général de la police.
Commissaire : qu’est-ce que c’est que ça ?!
Inspecteurs : vous le voyez : nos démissions. « soit nous sommes mutés sur une autre affaire…soit nous démissionnons de la police.
Commissaire :… mais…pourquoi…
Inspecteurs : « pourquoi ? parce que nous tenons à la vie. D’après les conclusions de L, kira possède une sorte de pouvoir surnaturel qui lui permet de tuer les gens à distance, n’est-ce pas ? » «  si j’étais à sa place, je tuerais ce qui essaient de l’arrêter. » « autrement dit, l’ arrêter, c’est être condamnés à mort. »
Commissaire : …mais enfin, lors de la diffusion de l’émission, L a invecté kira en lui demandant de le tuer, et vous avez vu qu’il ne s’est rien passé.
Inspecteur (en costard de couleur claire) : certes mais L n’a pas donné son nom et encore moins montré son visage. De plus, la dernière demande de L est : rechercher de quelle manière les informations concernant les victimes ont été délivrées au japon. Il a dit avoir besoin de savoir si les photos ou des images des crminels qui ont tués avaient circulé avant. Et il avait raison !! toutes les victimes sont des criminels dont le visage était connu des médias japonnais !! autrement dit, à la différence d’une certaine personne, nous menons nos enquêtes avec nos badge de police qui est un pièce d’identité avec notre photo. Nous travaillons à visage découvert ! nous pourrions être tués par kira à tout moment…
Inspecteur de sa gauche (en costard foncés) : c’est la raison pour laquelle nous demandons de passer sur une autre affaire. (les 3 en s’en allant ) monsieur le directeur, nous comptons sur vous.
Commissaire :mais…enfin…attendez…
Autres inspecteurs :  « en y réfléchissant, c’est vrai ce qu’ils disent… » « L a le beau rôle…il a watari ici et communique par ordiateur sans montrer son visage…
 
L(chez lui , suivant tout ce qui se passe au quartier général par ordi. ) : …alors, c’est bien ça…pour tuer, il doit au moins connaître le visage de sa cible…ensuite…
 
Light (de retour, dans sa chambre ) :finalement, ça n’a pas été si difficile que ça…
Ryuk :hum ? tu veux dire que tu as réussi à cacher le death note ?
Light : oui. Il est dans ce tiroir (montre 1er tiroir de son bureau avec une serrure)
Ryuk : …et c’est ça que tu appelles « caché » ?
Light : je peux poser la clé dessus ou encore la déposer en évidence...[clac](ouvre le tiroir)
Ryuk : ? ce n’est pas le death note …c’est un simple journal intime, non ?
Light : il est probable que la plupart des gens se satisfassent de la lecture de ce journal qui contient un quotidien répétitif, après avoir ouvert ce tiroir à secrets. Mais la véritable clé, c’est celle-ci (prend un crayon dans son pot ). Un objet qu’il n’y a rien d’anormal de trouver sur ou près du bureau. Une mine de stylo bille. Sous le tiroir, s’il on regarde bien on voit qu’il y a un petit trou. On insère la mine dedans.
Ryuk : je vois…un tiroir à double fond ….je comprends mieux pourquoi tu as choisi aussi minutiesement la planche au home center tout à l’heure. Ça, plus le faux journal intime…il est en sécurité maintenant.
Light : ce n’est pas tout
Ryuk : ?
Light :même si l’on s’imagine qu’il y a un double fond et que l’on soupçonne la présence du cahier sous la planche, il est impossible de le prendre avec les mains. Tu comprends ? si l’on n’utilise pas une mine en plastique non conductrice de courant, l’électricité passe et, en une fraction de seconde, met le feu à l’essence contenue dans le fin sachet plastique.alors, exactement comme tu l’as vu dehors à midi, le cahier brûle d’un seule coup.
De plus sous la planche, il y a cette tige en cahoutchouc qui se cale entre les deux parties métalliques, empêchant ainsi le courant de passer.autrement dit, il n’y a qu’une seule façon d’ouvrir ce tiroir…si on le vide en le retournant, si on force le double fond, le mécanisme s’enclenche et…le cahier prend feu, et il ne reste aucune preuve…
Ryuk :...
Light: si l’on me demande pourquoi je l’ai brûlé, je dirai que je ne c’était mon vrai journal intime, et que je ne voulais le montrer à personne. C’est très plausible après tout, ce qui aura brûlé, c’est un cahier.
Ryuk :j’ai souvent entendu dire que, lorsqu’un humain avait un death note, son plus grand problème était l’endroit où le cacher, mais…light, tu es certainement le premier à faire tout ça.néanmoins, c’est quand même un mécanisme dangereux. Un petite erreur dans l’ordre de procédure et tu te brûle gravement.
Light : dangereux ? tu dis encore quelque chose d’étonnant, ryuk. Je m’expose au danger depuis le début. Mais c’est aussi ce même danger qui assure ma sécurité. Un petit feu dans la maison ou la peine de mort … je crois que le choix est fait.
Ryuk :…
 
Quartier général du fbi :
Chef du fbi en conversation téléphonique avec L
L : oui, tout à fait. Je voudrais que vous enquètiez secrètement sur la police japonnaise, particulièrement sur les membres affectés à l’affaire kira et leur entourage.
Chef : …L…vous pensez que kira est parmis eux ?
L :oui, j’en sius certain !!!
Chef : vous comprenez quand même que c’es assez délicat…
L : vous n’ignorez pas que le nombre de criminels tués par kira aux Etas-Unis s’élèves à 327. c’est plus que partout ailleurs.
Chef : bon..très bien , entendu…
L : je vous remercie. Je compte sur vous pour me montrer que le préstige du fbi n’est pas usurpé.
 
(L à watari)
L : watari, j’ai bien reçu la liste des personnes en raport avec la police et sur lesquelles le fbi a commencé à enquêter.
Watari : très bien, le fbi est au japon depuis quatre jours.
L : (à part) au sein de la police, 141 personnes ont eu accès aux informations sur cette affaire…et parmi c’est 141 personnes…ou leur entourage proche…IL Y A KIRA !(regarde dossier sur père de light )
 

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