page 3-famille
Page 3- famille
Monde des morts :
Dieux de la mort : on ne voit plus ryûk ces temps-ci. Alors il avait vraiment perdu son death note dans le monde des humains ? Et un humain l’aurait trouvé avant lui ? Ca voudrait dire qu’il va rester là-bas jusqu’à la mort de celui qui l’a trouvé, ou jusqu'à la disparition du death note. Oui…mais même ryûk ne ferait pas un truc aussi ennuyeux…Avec lui, tu sais, on ne sait jamais…En plus, on raconte qu’il avait en fait deux death notes…Pourquoi faire ?
Chambre de light (ryûk est sur le lit et light assis à sa baie vitrée)
Ryûk :ce n’est pas la grande forme, on dirait, light…
Light : disons que je fais un petit break. Savoir ce que la police va faire m’intéresse. Et puis je suis un peu fatigué. Dehors, tout le monde ne parle que de kira et de L. Ca me sort par les oreilles … Si je n’était pas impliqué moi-même, je trouverais ça amusant mais…ha ! ha !(light prend un magazine ) « L, le détective qui commande même a interpole, contre kira, celui qui a le pouvoir de tuer n’importe qui à distance. » (titre article :le mystère s’épaissit…L contre kira ! la thèse du complot de la police.) « L et kira n’existent pas et ne sont que des inventions de la police pour examiner les criminelles »… Il y a encore des journaux pour écrire ça…Il n’y a pas que dehors : la télé, la radio, les journaux…tout ce qu’ils réussissent à faire finalement, c’est de me fatiguer. Je ne dois pas oublier de me relaxer un peu.
Ryûk : les polices du monde entier s’activent pour te retrouver et toi, tu veux te « relaxer » … tu ne t’affoles vraiment pas…
Light :…m’affoler…? (se relève) oui, c’est juste. Après avoir trouvé le death note… sais-tu pourquoi j’ai décidé de débarasser le monde du mal… ?Parce que j’avais confiance en une chose qui me permettrais de me battre, même si la police s’en mêlais.
Ryûk : (à part) une chose qui donne confiance… ?
La porte :CLAC
Voix derrière la porte : light pour quoi fermes-tu la portes à clé ?
Light : Sayu…? que veux-tu ?
Sayu : tu peux m’aider à faire mes devoirs ?
Light : (range le death note) oui, bien-sûr. Attends une seconde.(ouvre la porte)
Sayu : (tend son cahier) en maths, les fonctions du deuxième degrès…
Light : ah…oui…
Ryûk : attention, light…
Light :!?
Ryûk: si elle touche le death note qui est dans ton bureau, elle sera capable de me voir.
Llight : ! (à part) Et c’est maintenant qu’il me donne cette précieuse information…ce dieu de la mort…
Sayu : je vois ! tu lisais ce genre de magazine pour adultes. C’est pour ça qu tu avais fermé ta porte à clé.
Light : eh ! ho !C’est l’ article sur L et kira qui m’intéressait.
Sayu :ah…c’est vrai que tu veux devenir policier plus tard, hein ?
Light : oui ! je vais devenir l’homme le plus important de la police, tu verras.
Sayu : oui, je suis sûre que toi tu peux y arriver !
Ryûk : (à part) alors, c’est pour ça qu’il est aussi sur de lui… ? Mais ça va lui prendre des années…qu’a-t-il en tête… ?
Chez L
[flash back :allez ! dépêche toi! Tue moi ! alors ? tu ne peux pas me tuer ?]
L : (dans ces pensées) pourquoi n’a-t-il pas pu me tuer à ce moment-là ? parce que je ne suis pas un criminel ? non, certainement pas…dans cette situation, il est évident qu’il devait vouloir me tuer…dans ce cas, ce serait parce qu’il n’avait pas d’image réelle de moi…
Watari (sur l’ordinateur enconnexion avec webcam) :L
L : oui, watari ?
Watari :Le rapport du quartier général d’enquête commence.
L : très bien, branche-moi.
Quartier général de l’enquête spéciale sur les meurtres en série de criminels
Commisaire :ensuite, les victimes…
Inspecteur :oui. En ce qui concerne toutes les personnes mortes d’une crise cardiaque et que l’on peut clairement dans les victimes, nous avons pu avoir, au japon toutes les informations disponibles les concernant. Ensuite…à propos des heures des morts, point sur lequel L avait insisté pour que nous enquêtions…les victimes sont mortes entre 16h et 2h du matin, en semaine… par ailleurs, 68 % d’entre elles sont mortes entre 20h et minuit.
Commissaire : bien. Ensuite ? Les informations genérales.
Autre inspecteur :oui. Nous avons reçu 3029 appels et messages de la population… La plupart voulais savoir si l’émission diffusée en direct d’interpol était vraie et si L existe vraiment autrement dit des informations ordinaire mais…14 messages d’informations pour dire : je connait kira ou j’ai vu kira. Nous avons enregistré chaque cas avec précision mais avec vérification, comme vous le lisez dans le rapport aucue informations n’étais fiable. Nous avons aussi 21 personnes qui prétendent être elles-mêmes kira. Nous n’ écartons aucune éventualité, et nous avons créer un dossier pour chacune d’elles.
Commissaire :…hum...la procédure souhaitée a donc été suivie…Bien. S’il y a des commentaire ou des questions…
Iinspecteur matsuda : euh…oui…
Commissaire : oui, matsuda ?
Matsuda : ceci ne vise absolument pas à approuver les actes de kira, mais…depuis queques jours dans le monde entier et particulièrement au japon, les crimes d’un degrès supérieur au vol, ont très fortement diminué.
[Silence complet…]
commissaire : oui…on pourrait dire qu’il fallait s’y attendre, certes….autre chose ?L, le rapport d’enquête du jour est donc terminé pour nous.
L : très bien, merci. Je pense que nous nous rapprochons un peu plus du meurtrier …et je suis désolé de vous faire encore une demande mais…je m’adresse surtout aux groupes chargés des victimes, de l’informatinons et d’internet. J’aimerais que vous recherchiez de quelle manière les informations concernant les victimes ont été délivrées au japon. J’ai surtout besoin de savoir si des photos ou des images des criminels qui ont été tuer avait circulé avant.
Merci d’avance.
Commissaire : c’est le groupe 2 qui sera de service de nuit. Les autres, continuez votre travail mais, aujourd’hui reposez-vous autant que possible. C’est tout.
Hall du quartier général
Le commissaire s’étire
Matsuda le rejoint en courant :monsieur le directeur, vous rentrez ?
Commissair : hein ? oui, j’ai travaillé toute la nuit hier .
Matsuda : au revoir, monsieur.
Commissaire : au revoir.
Matsuda :euh…je…
Commissaire : quoi ? qu’y a-t-il, matsuda ?
Matsuda : en disant que la criminalité avait baissé, j’ai dit ce que tout le monde savait déjà…je n’aurait peut-être pas dû…
Commissaire :mais non, allons…c’est une vérité aussi difficile soit-elle à reconnaître , c’est ainsi. Vous auriez demandé à ce que l’on rende honneur à kira parce qu’il est responsable de ma baisse enregistrée, là, le problème aurait été différent…
Matsuda :ah…un tueur en série comme lui..non…jamais…
Dans la chambre de light :
Sayu : tu es vraiment fort, light.
Light :bon, là, tu as compris.
Sayu : hum…à peu près…
Dans le hall :
[ding,dong]
mère de light : ah, mon chéri, c’est toi.
Re dans la chambre :
Sayu : c’est papa. Il rentre tôt aujourd’hui.
Light : eh ! le dernier problème tu vas essayer de le faire toute seule, ok ?
Sayu(en courant) :oui ! oui ! après le repas !!!
Mère: light !sayu! à table!
Sayu : oui ! bonsoir, papa !
Light : bonsoir, papa.
Père de light (qui est en fait le commissaire) : ah…bonsoir, light.
Dans a cuisne :
Père : comment ça se passe à l’école, ces derniers temps ?
Light :pardon ?ça va. Comme d’habitude.
Sayu : oui :comme d’habitude, mon cher frère est premier de sa classe.
Mère : et nous pouvons être fier de lui.
Père : et toi, sayu ?
Sayu : qui ?moi ? ben…ça va…comme d’habitude…je crois…
Père : bon.
Silence
Light : tu as l’air fatigué , papa.
Père : un peu…cette affaire est assez difficile… on nage en plein brouillard. Mais …aujourd’hui le plus haut responsable, compte tenu des heures de la mort des ciminels, s’est demandé si le meurtrier n’etait pas un écolier…
Mère: parler de ça au dîner, ce n’est pas approprié,tu ne crois pas ?
Père :vraiment ? non.l’avis de light nous a bien aiguillé par le passé.
Ryuk :son père est responsable de la briguade de police…voilà pourquoi il est si confiant…. !
Light : j’ai terminé.
Sayu : waouh ! tu as mangé vite.
Light :sayu, pour tes devoirs, ça ira ?
Sayu : oui, merci.
Père :comment ? tu t’es encore fait aider par light ?
Sayu : imbécile ! pourquoi tu le leur as dit ?!
Light : ah ! au fait, mamn…je ferais le ménage moi-même dans ma chambre, alors, n’y entre pas.
Mère : hein ? tu sais bien que depuis que tu es au lycée, je n’y entre plus.
Sayu :ça y est… on dirait bien que light grandit, lui aussi.
Dans la chambre de light :
Ryuk : eh ben…non seulement, ils enquêtent essentiellement dans le kantô mais en plus, ils ciblent les écoliers.
Light : ils ciblent ? ryuk, j’ai volontairement agi pour qu’ils comprennent tout ça. Ensuite, on va passer dans une nouvelle étape dans l’utilisation du death note.
Ryuk : ?
light : « à la suite du nom, si l' on écrit la cause de la mort dans un délai de 40 secondes du monde des humains, cela se réalise. » « si l’on écrit pas la cause, la mort est systématiquement due à un arrêt cardiaque. » « si l’on écrit la cause, on obtient alors undélai supplémentaire de 6 minutes 40 pour décrire précisément le déroulement de la mort. »…c’est bien ça, hein ? ryuk. Autrement dit si j’écrit « crise cardique », je peux décrire ensuite les conditions . je vais peut-être pouvoir te divertir encore un peu.
Trois jours plus tard : quartier général de l’enquête spécial sur les meurtres ensérie de crminels.
Commissaire : COMMENT ?!hier, encore 23 criminels morts d’une crise cardiaque ?!
Inspecteurs : « oui. » « encore… ? » .
Commissaire : et en plus, exactement comme avant hier, 23 criminels enfermés dans nos prisons, ce qui fait que nous n’avons immédiatement été informés de leur mort…un toutes les heures, très exactement…
Inspecteurs : "cela a eu lieu de jours de suite en semaine… " « dans ce cas, l’hypothèse d’un écoliers disparaît… » « non. N’importe qui peut manquer l’école deux jours … »
L(toujours par l’ordi) : vous n’y êtes pas !!il est exact que la piste d’un écolier est brouiller, mais ce n’est pas ce que kira veut dire !!il cherche à nous faire comprendre… qu’il peut tuer à n’importe quelle heure… (à part) mais aussi qu’il dispose d’un moyen de connaître les information de la police !! et ça c’est évidemment une provocation envers moi…
Light et ryuk dans une école abandonnée :
Ryuk : hein ? tu as fait ça ?
Light : oui. Ha ! ha! Tu peux être sûr que L doit être en train de s’affoler un peu en ce moment. J’ai encore gardé exprès 50 criminels pour les cas comme celiu-ci. Ryuk : oh…
Light : mais nous avons nous aussi un problème à résoudre.
Ryuk : un problème ? light : tu m’ as dit que tous ceux qui touchait le death note pouvaient alors te voir…depuis que je sais cela je le garde toujours sur moi…mais du coup je suis beaucoup moins tranquille …jusqu’à présent, je le laissais chez moi en me disant que si quelqu’un le trouvait, je pourrais toujours dire que ce sont des notes prises sur l’enquête de kira pour mes études de policier, mais…ce n’est plus possible et je joue un numéro d’équilibriste …
Ryuk : …
Light : il suffirait d’une erreur…pour que kira…SOIT AMENE A TUER SA PROPRE FAMILLE.
Ryuk : light, pourquoi restes-tu dans un lieu où il n’y a pas âme qui vive ?
light : la personne qui touche le death note peut te voir et t’entendre ryuk. Et ça, ça m’embête.
Ryuk :tu pourrais dire que je suis ton ami mais on n’y croirais pas…
Light :si ce n’était que ça ! ma petite sœur aurait une attaque en voyant ton visage, c’est sûr !
Ryuk :…